Pacte national contre le gaspillage alimentaire
par AJI le 04/06/2025
AJI - Gestion pour l'éducation participait ce matin à une réunion en vue d'écrire le nouveau pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire. Retrouvez ci-dessous le contenu de notre intervention.

Le député et ancien ministre Guillaume Garot lançait ce jour la première d’une série de réunions du GT 3 : Former, sensibiliser à des pratiques de consommation plus durables et mobiliser professionnels et citoyens dans les territoires et les organisations. 4 groupes de travail permettront d'écrire l’agenda 2030 de lutte contre le gaspillage alimentaire. Ses objectifs :
1) Consolider les outils et dispositifs existants.
2) Imaginer de nouveaux leviers pour que le réflexe antigaspi soit intégré dans les habitudes des consommateurs et les pratiques des professionnels.
3) Insister sur la nécessité d'engager une véritable transition alimentaire, sociale et environnementale.
Intervenant au nom de Restau'Co et au nom de ses adhérents, AJI - Gestion pour l'éducation a sensibilisé les 70 participants, acteurs de l'alimentation issus du monde de la recherche, de l'action associative, de la certification, d'organisations représentatives et d'institutions, en portant le message suivant :
- Parce que nous ne pouvons agir sur la recette et uniquement sur une partie des dépenses, nos marges de manœuvre pour réduire les coûts sont faibles et la lutte contre le gaspillage alimentaire est apparue depuis près de 20 ans et plus fortement ces dernières années, dans un contexte inflationniste, comme un moyen simple et rapidement efficace d'y parvenir.
- Les choix raisonnés de menus et d’approvisionnement, l’agencement des selfs, la présentation des plats, l’échange avec les convives, le tri à la desserte et bien d’autres dispositifs, sont répandus dans les EPLE.
A ce titre, de nombreux établissements peuvent servir d’exemple.
Mais trop souvent, les projets remarquables relèvent d’initiatives individuelles ou d’opportunités. Nous pourrions donc faire encore mieux :
- Si les programmes scolaires incitaient davantage les enseignants à utiliser les établissements comme des lieux d’expérimentation. C’est souvent vrai dans le primaire, moins dans le secondaire ; or, l’immense majorité des 7 900 EPLE disposent d’une restauration sur site, le plus souvent en régie directe.
- En proposant des actions de sensibilisation des parents par leurs enfants ou par les élèves éco délégués : les bons gestes appris à l’école peuvent se diffuser dans la société, en commençant par les familles.
1) Consolider les outils et dispositifs existants.
2) Imaginer de nouveaux leviers pour que le réflexe antigaspi soit intégré dans les habitudes des consommateurs et les pratiques des professionnels.
3) Insister sur la nécessité d'engager une véritable transition alimentaire, sociale et environnementale.
Intervenant au nom de Restau'Co et au nom de ses adhérents, AJI - Gestion pour l'éducation a sensibilisé les 70 participants, acteurs de l'alimentation issus du monde de la recherche, de l'action associative, de la certification, d'organisations représentatives et d'institutions, en portant le message suivant :
- Parce que nous ne pouvons agir sur la recette et uniquement sur une partie des dépenses, nos marges de manœuvre pour réduire les coûts sont faibles et la lutte contre le gaspillage alimentaire est apparue depuis près de 20 ans et plus fortement ces dernières années, dans un contexte inflationniste, comme un moyen simple et rapidement efficace d'y parvenir.
- Les choix raisonnés de menus et d’approvisionnement, l’agencement des selfs, la présentation des plats, l’échange avec les convives, le tri à la desserte et bien d’autres dispositifs, sont répandus dans les EPLE.
A ce titre, de nombreux établissements peuvent servir d’exemple.
Mais trop souvent, les projets remarquables relèvent d’initiatives individuelles ou d’opportunités. Nous pourrions donc faire encore mieux :
- Si les programmes scolaires incitaient davantage les enseignants à utiliser les établissements comme des lieux d’expérimentation. C’est souvent vrai dans le primaire, moins dans le secondaire ; or, l’immense majorité des 7 900 EPLE disposent d’une restauration sur site, le plus souvent en régie directe.
- En proposant des actions de sensibilisation des parents par leurs enfants ou par les élèves éco délégués : les bons gestes appris à l’école peuvent se diffuser dans la société, en commençant par les familles.